Gil Roman - Maurice Béjart

Tous les hommes presque toujours s’imaginent - 7 danses grecques - Boléro

Ce programme exceptionnel en trois parties nous promet une soirée inoubliable, tant par la qualité irréprochable des danseurs que par ses magnifiques chorégraphies, dont le fameux Boléro, véritable monument de la danse contemporaine !

Tous les hommes presque toujours s’imaginent, titre emprunté à l'écrivain suisse Ludwig Hohl, est entièrement chorégraphié sur les musiques de John Zorn, l'un des compositeurs majeurs de la musique contemporaine américaine. Gil Roman, disciple génial et inspiré du maître, s’immerge dans l’univers exploré par le talentueux multi-instrumentiste de 1990 à 2017. C’est ainsi que pas à pas, d’un mouvement, d’un geste, Gil Roman a entraîné ses danseurs au-delà des murs.

En 1983, Maurice Béjart crée à New York 7 danses grecques. Le charme opère dans cette chorégraphie travaillée dans le sens de la rigueur mathématique révélatrice des racines d'un peuple, d’un groupement ethnique, culturel pour devenir ce ballet où la Grèce est d'autant plus présente que les emprunts à son folklore sont minimes.

Plus de 50 ans après sa création, Béjart révèle l’amour et la séduction, dans le somptueux Boléro, une chorégraphie de soliste, intemporelle, hypnotique et envoûtante. Seul sur une grande table rouge, un danseur répète inlassablement le même balancement lascif. Autour de lui, une quarantaine de danseurs l'observent puis le rejoignent peu à peu. « Tant que la danse sera considérée comme un rite, rite à la fois sacré et humain, elle remplira sa fonction. » Maurice Bejart

Un programme de salle est distribué chaque soir de spectacle : pour le lire ou le relire c'est par ici !

Billets

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84€Carré or
59€Plein
49€Réduit / Catégorie 2
35€Catégorie 3
45€Abonnés
40€ABO. -26 ANS / ROUBAIX
15€Dernière minute (-26 ans/Roubaisien/demand. emploi/RSA)

Tous les hommes presque toujours s’imaginent de Gil Roman | John Zorn (musique) | Marc Hollogne (collaboration scénario et vidéo) | Henri Davila (création costumes) | Dominique Roman (création lumière) | Avec : Jasmine Cammarota (Elle), Vito Pansini (Lui), Bianca Stoicheciu, Oana Cojocaru, Gohar Mkrtchyan, Emma Foucher, Floriane Bigeon, Clara Boitet, Chiara Posca, Alessandro Cavallo, Denovane Victoire, Cyprien Bouvier, Antoine Le Moal, Angelo Perfido, Dorian Browne, Hideo Kishimoto, Daniel Aguado Ramsay (La Tribu), Federico Matetich, Min Kyung Lee, Masayoshi Onuki, Hideo Kishimoto, Kwinten Guilliams, Elisabet Ros, Jeronimas Krivickas, Valerija Frank, Edoardo Boriani, Solène Burel, Antoine Le Moal, Kathleen Thielhelm, Angelino Perfido (Les Anges).

7 danses grecques de Maurice Béjart | Mikis Theodorakis (musique) | Dominique Roman (réalisation lumière) | Introduction : La compagnie, Pas de deux : Hideo Kishimoto, Angelo Perfido, Ensemble des filles : Toutes les filles, Ensemble des garçons : Tous les garçons, Pas de deux : Chiara Posca, Kwinten Guilliams, Floriane Bigeon, Denovane Victoire, Pas de deux avec 6 garçons : Solène Burel, Oscar Frame, Hideo Kishimoto, Angelo Perfido, Konosuke Takeoka, Denovane Victoire, Cyprien Bouvier, Liam Morris, Thèmes et variations Solo : Oscar Eduardo Chacón, Pas de cinq : Solène Burel, Valerija Frank, Kateryna Chebykina, Chiara Posca, Min Kyung Lee, Final : La compagnie.

Boléro de Maurice Béjart | Maurice Ravel (musique) | Maurice Béjart (décors et costumes) | Dominique Roman (réalisation lumière) | Avec : Kathleen Thielhelm (La Mélodie) à 20h, en alternance à 15h avec Elisabett Ros | Angelo Perfido, Alessandro Cavallo, Jeronimas Krivickas, Edoardo Boriani, Cyprien Bouvier, Masayoshi Onuki, Kwinten Guilliams, Hideo Kishimoto, Daniel Aguado Ramsay, Oscar Frame, Konosuke Takeoka, Federico Matetich, Dorian Browne, Denovane Victoire, Andrea Luzi, Antoine Le Moal, Liam Morris, Zsolt Kovacs (Le Rythme).

Photographies : Gregory Batardon, François Paolini, Marc Ducrest et Kiyonori Hasegawa.

La presse en parle

Des tableaux mouvants d’une poésie, d’une élégance et d’une douceur rares, mettant en scène des expressions actuelles de nos relations humaines, sans pour autant y mettre des titres. (…) C’est si beau de voir que les danseurs, tout en travaillant dur, prenaient aussi leur pied à bouger aux rythmes entraînants de la musique de John Zorn.

Le Matin Dimanche
Des impulsions musicales inspirantes et innovantes pour sa création scénique actuelle. Tous les hommes presque toujours s’imaginent ne raconte pas une histoire linéaire. La pièce se développe plutôt à différents niveaux et encourage le public à développer ses propres interprétations.

Tanz Magazin
Les danseurs incarnent avec une perfection des mouvements, l’élan du créateur qui a su bousculer le classique, inviter au moderne et mélanger les genres. Le tout dans la fluidité et l’évidence. Ce souffle de Béjart se déguste telle une coupe de champagne, pétillante et enivrante.

Sud-Ouest
Pas à pas, avec un mouvement, avec une pose, Gil Roman emmène les danseurs au-delà des murs.

Huffington Post
Tous les hommes presque toujours s’imaginent une synthèse de danse et de musique qui raconte une histoire empreinte de passion, de sensibilité, d’humour et même d’ironie. En même temps, il célèbre la beauté et l’inépuisable expressivité du corps humain. Un chef-d’œuvre à couper le souffle

Deutsche Zeitung